Les drones font partie des outils de prise de vue pour un bon nombre de réalisateurs de vidéo, de clips, de documentaires, etc. Ils remplacent des dispositifs assez chers comme les systèmes de prise de vues en déplacement à savoir les grues, les trains, les voitures, et les plateaux mobiles. Si on en reste sur de simples shooting, le tournage par drone ressort de l’ordinaire vu que le prix de ces derniers deviennent accessible par des. vidéastes amateurs.

En tant que scientifique, quel type d’innovation peut-on apporter à partir des prises de vues aérienne via drone ? Pour répondre à cette question, la vice-présidence chargé de la recherche et de l’innovation avec des chercheurs de l’Université de Kyoto a organisé un atelier sur l’utilisation des drones en vue d’une surveillance écologique. Les images fixes ou animés prise par drone détiennent beaucoup d’informations, qu’elles soient d’origine visibles ou signalétiques comme les images infrarouges. De nombreuses applications ont vu le jour pour ces interprétations.

Pour nos chercheurs japonais, leurs expériences ont été manifestées lors de l’exploration de l’incendie qui a ravagé le Parc Nationale d’Ankarafantsika. Couplés avec des images satellites, des informations géographiques, des données GPS, les images prises ont été exploitées pour l’analyse des pertes, la reconstruction 3D d’une région, et des recommandations pour la restauration.

L’atelier de formation intéressait beaucoup une multitude de chercheurs malagasy, en particulier dans le domaine de la géophysique, la télédétection, la biologie et écologie végétale, la géographie, l’environnement, etc ...